Mon bilan carbone: Les usage numériques

Le numérique est rentré dans nos vies depuis quelques années, et ne cesse de croitre. Nos ordinateurs et téléphones sont abreuvés par d’immenses centre de données, toutes ces données sont stockées en ligne et communiquent sur le réseau Internet.

L’impact de la consommation numérique reste relativement modéré au global, mais croit exponentiellement. Il est donc important d’en connaitre son impact pour le maitriser et le raisonner.

Le simulateur ci-dessous permet d’estimer mon empreinte en fonction de mes usages. Le streaming et usages vidéo sont typiquement très émetteurs de CO2eq, mais il en est de même pour le stockage de données en ligne, qui sont répliquées de nombreuses fois dans des Data Centres.

On se rend compte que pour un usage personnel modéré (quelques emails, un peu de streaming et de vidéoconférence) cela reste très raisonnable (de l’ordre d’une centaine de kms en voiture sur un an). Mais dans le cadre professionnel ou pour des utilisateurs plus avancés, cela peut prendre des proportions significatives.

Néanmoins, le ou les terminaux utilisés représentent la portion congrue de cette empreinte carbone.

Leviers

Mon premier levier est de limiter ma consommation de ‘terminaux’ en faisant durer mon matériel aussi longtemps que possible.

Dans un second temps, je peux réfléchir mes usages et faire des choix qui auront un impact sans nécessairement une dégradation de mon service :

J’utilise la qualité qui convient à mon appareil pour le streaming
Je télécharge le contenu que je pense réutiliser fréquemment, tel que la musique
J’évite de stocker trop de fichiers en ligne sur le cloud, je préfère des sauvegardes locales
Je vide ma boite mail régulièrement
J’utilise le Wifi ou le réseau local/fibre plutôt que la 4G

Un îlot de verdure au pied du massif de Belledonne - Isère - Auvergne Rhône-Alpes

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