Menu

Mon bilan carbone: Les repas et boissons

Food carbon footprintLe bilan carbone d’un aliment couvre tout son cycle de vie, notamment la production, le transport, et l’emballage.

 

Comme on le voit sur le premier diagramme ci-dessous, un repas avec du boeuf est 14x plus émetteur de CO2eq qu’un repas végétarien !

 

Pour produire de la viande, il faut prendre en compte la nourriture, notamment les céréales (qui souvent viennent souvent de l’autre bout du monde) qui ont servi à nourrir l’animal. Mais le bœuf est aussi pénalisé par le méthane de ses flatulences, GES très puissant.

 

Le second diagramme montre une comparaison de différentes boissons. Même si l’impact est plus faible, les ordres de grandeur peuvent être majeurs, notamment entre l’eau du robinet et de l’eau en bouteille ou des sodas !

 

 

Les LEVIERS

La production et le transport  de mes aliments qui me permet d’influencer mon bilan carbone.

 

En premier lieu, je réduis ma consommation et mes déchets. Moins gâcher, cuisiner et consommer mes restes, sont des gestes ayant un impact important.

 

Pour réduire l’emballage et le transport, je privilégie une alimentation locale, en circuit court (pas de supermarchés), sans emballages plastiques (par exemple en achetant en vrac).

 

Si je suis amateur de viande, je sélectionne des viandes locales et de qualité, de bêtes élevées au grand air, et nourries dans les champs. Je privilégie le poulet ou le porc, qui ont une empreinte cinq fois plus faible que le bœuf. Je réserve le bœuf pour les grandes occasions et je choisis son origine !